"Opération terrestre d'Israël à Gaza et crash d'un avion civil en Ukraine, le risque géopolitique revient sur le devant de la scène boursière et financière en cette fin de semaine", résume Christopher Dembik, un analyste de Saxo Banque.
"Sans céder à la panique, les indices actions devraient poursuivre la phase de consolidation", affirme de son côté Franklin Pichard, directeur de Barclays Bourse, même si leur "potentiel baissier (...) est limité".
Le crash de l'avion malaisien avec à bord 298 personnes, probablement abattu par un missile au-dessus d'une zone de conflit armé en Ukraine, suscitait vendredi colère et consternation dans le monde, amenant les séparatistes prorusses à promettre un accès libre aux enquêteurs internationaux.
Par ailleurs, les soldats israéliens, appuyés par des chars et l'aviation, combattaient dans la bande de Gaza vendredi au deuxième jour d'une opération terrestre censée anéantir les infrastructures et la puissance de feu du Hamas palestinien malgré le risque pour les civils.
Préoccupés par la situation géopolitique, les investisseurs garderont cependant un oeil sur les résultats d'entreprises qui se poursuivent aux États-Unis et en Europe.
Les résultats de General Electric (GE) sont inscrits à l'agenda dans l'après-midi.
Côté indicateurs, la première estimation de la confiance des consommateurs pour le mois de juillet (15H55) par l'Université de Michigan et l'indicateur composite de l'activité économique pour le
La Bourse de Paris joue la prudence
information fournie par Le Revenu 18/07/2014 à 11:51
Mes listes
Une erreur est survenue pendant le chargement de la liste
0 commentaire
Vous devez être membre pour ajouter un commentaire.
Vous êtes déjà membre ? Connectez-vous
Pas encore membre ? Devenez membre gratuitement
Signaler le commentaire
Fermer